Couverture du livre Ma tête est forte de celle qui danse
Portait de Rodney Saint-Éloi

Un choix de Rodney Saint-Éloi

Écrivain et éditeur

Portait de Rodney Saint-Éloi

Un choix de Rodney Saint-Éloi

Écrivain et éditeur

Ma tête est forte de celle qui danse

Éditeur
Éditions du Noroît

Catégorie
Rodney Saint-Éloi Choix de personnalités

« Où regarder encore ? » Ainsi se termine « Je demande pardon à l’espèce qui brille », le deuxième tome des « Grands cimetières » ; par là est venu « Ma tête est forte de celle qui danse ». Hantés par un je peux qui prend feu, prend froid, creuse, s’élance, se retourne et tremble, les poèmes de ce livre se veulent à la fois soulèvement d’une langue face aux craintes ou aux vœux, et mouvement qui cherche à prendre ensemble les transparences et les opacités du monde afin que tout se perde et que tout s’ouvre aux commencements.